Puni Par L’Immense Femme De Ménage Africaine

C’était une chaude soirée du mois de juillet. J’étais bloqué au bureau, condamné à rédiger ce foutu rapport pour le lendemain. J’allais sûrement devoir y rester jusqu’à une heure du matin ! Il faisait une chaleur étouffante. La climatisation était en panne et mon bureau n’avait pas de fenêtre. Comme il était 20H et que tout le monde était déjà parti, je décidai de me mettre en slip. Je ne supportais plus ce chaud costume et surtout cette cravate. Une fois déshabillé, je posai mes affaires sur un cintre que j’accrochai au porte manteau. Je me rassis pour continuer mon travail et le contact froid de mon siège en cuire me donna d’agréable frisson. J’étais plongé dans mon travail depuis quelques minutes quand la porte de mon bureau s’ouvrit. C’était la femme de ménage. Je ne l’avais jamais croisée auparavant : Elle était immense ! Je n’avais jamais rien vu d’aussi impressionnant. C’était une femme noire de 30 ans environ. Elle était si grande que son chignon touchait presque l’encadrement. Ses épaules étaient si larges qu’elle dût se mettre de profil pour entrer. Elle portait une blouse sans manche dans laquelle elle était à l’étroit, et qui laissait apparaître des bras massifs et musclés. Elle avait quelques kilos en trop mais ça lui allait bien. Elle se tenait droite, la tête haute. Son regard était déterminé. Elle fronçât les sourcils quand elle vit que la pièce n’était pas vide. Elle sembla d’ailleurs un peu étonnée d’y trouver un homme torse nu derrière son bureau. Son regard me fit sentir tout petit et je priai pour qu’elle rebrousse chemin afin qu’elle ne voit pas que j’étais en slip. Jamais une femme n’avait provoqué chez moi à la fois autant d’admiration et de crainte. Elle s’adressa à moi d’une voix grave et d’un ton autoritaire teinté d’un fort accent africain:


“Mais qu’est ce que tu fais là ! Le bureau doit être vide quand je fais le ménage. Remets ta chemise et rentre chez toi petit blanc !”


J’étais abasourdi par son assurance.

Comment osait elle me tutoyer ! Et surtout me traiter de “petit blanc” ! C’est vrai que j’étais d’un petit gabarit. Avec mes 1m60 pour 46 kg, j’avais probablement l’air d’une demi portion pour cette belle plante qui devait faire trois fois mon poids et mesurer bien 30 cm de plus que moi. Mais quand même ! De quel droit ! Elle entra dans le bureau d’un pas lourd et je sautai de mon fauteuil pour la mettre dehors, oubliant que j’étais en slip. Une fois face à l’amazone, je pris la mesure de l’erreur que je venais de commettre ! Elle était si grande que mes yeux arrivaient juste à hauteur de sa poitrine opulente. Elle ne portait pas de soutien gorge et ses tétons semblaient n’avoir pour seul but que de percer cette blouse trop juste pour ce corps immense. Elle ouvrit de grands yeux quand elle vit que j’étais en slip:


“Mais tu es en slip ! Et tu crois que c’est bien hygiénique ! Tu crois que j’ai que ça à faire de nettoyer ton fauteuil souillé par tes petites fesses blanches !”


C’en était trop pour moi ! Je saisis une de ses mains et entrepris de la tirer hors du bureau. Je fus surpris par la sensation au contact son immense paluche. Ma petite main ne put saisir qu’une partie de sa paume ! Je commençai à la tirer dehors mais elle ne bougeait pas d’un pouce ! Forçant avec mes jambes, je me cambrai pour utiliser toute la force que j’avais. La géante d'ébène ne bronchait pas. Le miroir sur le mur me renvoyait l’image humiliante d’un petit homme pusillanime vêtu seulement d’un slip qui s’agitait à coté d’une belle femme noire faisant trois fois sa taille. La femme de ménage hurla:


“ça suffit ! Maintenant tu vas obéir !”


Assommé par son cri, je lâchai immédiatement sa main si bien que je me retrouvai le cul par terre, emporté par mon effort. Elle claqua la porte pour la refermer et me fit face. Elle me toisait de toute sa hauteur. Elle avait mit ses poings sur ses hanches et me fixait méchamment. Cette position gonflait les muscles de ses bras qui étaient plus gros que mes cuisses.
Les boutons de sa blouse étaient à la limite de la rupture. Je voyais d’ailleurs le haut de son sillon mammaire à chacune de ses inspirations. La colère et la chaleur la faisaient transpirer. Le tissus humide devenait d’ailleurs de plus en plus transparent. Ses seins volumineux se dessinaient toujours un peu plus. Je rampai à reculons jusqu’à me retrouver acculé au mur.


“Je ne supporte plus ces caprices de petit blanc ! Quand on ne pèse pas plus lourd qu’une fillette, on obéit sans broncher à mes ordres ! Je vais te punir ! Gare à tes petites fesses !”


J’étais tétanisé ! Cette brute avait bien conscience de sa supériorité physique. C’était la première fois que je me retrouvais dans une telle situation. Cette position d’homme à la merci d’une femme qui pouvait le dominer sans effort provoquait des sensations nouvelles chez moi. Je crois que je sentais ma prostate frissonner ! Oui, c’était bien une excitation sexuelle ! Comme si elle avait lu dans mes pensées, elle sourit légèrement.


“Je vais te montrer ce qu’une belle et grande femme noire peut faire subir à un être chétif comme toi !”


Elle se baissa et saisit d’une poigne de fer mon avant bras qui disparut dans son immense battoir. D’une seule main, elle me força à me relever comme si je ne pesais rien. Elle m'entraîna alors vers le fauteuil ou elle s’assit. Tirant d’un coup sec sur mon bras, elle me força à perdre l’équilibre pour que je me retrouve à plat ventre sur ses cuisses qui étaient si larges que mon torse et mon bassin reposaient dessus. Elle saisit chacun de mes poignets dans ses mains pour les maintenir finalement dans sa seule main gauche. Maintenant que mes pieds ne touchaient plus le sol, je battais des jambes pour tenter de m’extirper des griffes de cette brute. Elle cria alors:
“Arrête de bouger ! J’ai plus de force dans un seul de mes bras que toi dans tout ton corps. Tu ne peux rien faire !”


Je me figeai face à cette évidence.
Sa main droite vint caresser mes petites fesses.


“Comme tu es petit ! Dans mon pays, on en fait des brochettes des petits culs blancs comme le tien ! Je suis sûre que tu dois avoir bon goût”


Un de ses gros doigts passa sous mon slip et le fit descendre au milieu de mes cuisses. Je frissonnai à la fois de peur et d’excitation. Tout mon petit corps se retrouvait totalement nu allongé sur les cuisses massives d’une amazone qui retenait sans effort mes deux bras dans une seule de ses mains. Je savais ce qui allait se passer et je le désirais autant que je le redoutais. Je sentis alors son bras se lever, puis sa main s’abattre lourdement sur mon petit séant. La douleur fut cuisante et irradia sur toute la surface de frappe de la palme démesurée. Mes larmes coulèrent instantanément. Sa main se releva alors et frappa à nouveau, puis encore et encore. Je ne pouvais contrôler mes sanglots et poussais de petits cris aigus à chaque fois que sa paume claquait sur mon fessier. Satisfaite par ma réaction, elle cessa et libéra mes mains.


“Alors petit blanc, on réfléchira la prochaine fois avant de manquer de respect à une déesse noire ?”


Je répondis oui d’une voix de fillette mêlée de sanglots. Elle caressa mes fesses du bout de ses longs doigts et dit:


“Ce qui est marrant avec les petites fesses d’homme blanc, c’est qu’elles rougissent quand on les frappe. J’adore les voir toutes rouges. On dirait de petites fraises qu’on a envie de croquer.”


C’est à croire que cette femme avait dans ses habitudes de donner des fessées à des hommes blancs ! Elle passa une main sous mon torse et l’autre sous mes cuisses puis me souleva pour porter mes fesses à sa bouche. Son mouvement fut fluide et sans à-coup ! Elle en fut surprise elle même :


“Mais que tu es léger ! C’est à peine si je sens ton poids !”


Elle me maintenait à bout de bras avec une facilité déconcertante.
J’avais l’impression de flotter dans l’air. Elle saisit une de mes fesses dans sa mâchoire et fit mine de mordre. Bon sang mais quelle bouche ! Elle était si grande que toute ma fesse était prise dans cet étau ! Elle n’avait qu’à serrer un peu plus fort pour déchirer le muscle comme un fruit trop mûr. Elle relâcha son étreinte et me donna un baiser.


“Ne t’inquiète pas. ça fait bien longtemps que l’on ne mange plus de blanc, même si tout ton petit corps est très appétissant et que j’ai très envie de croquer dans tes petites miches”


Elle donna alors une impulsion dans ses gros bras qui me fit sauter en l’air. Je retombai coté pile dans ses bras et elle m’assit sur ses larges cuisses. D’une main, elle finit de retirer mon slip. J’étais alors totalement nu assis sur ses cuisses larges et musclées, exposant mon petit pénis que cette situation inattendue avait durci.


“Vous êtes tous les mêmes les petits blancs. Quand une grande noire vous donne la fessée et vous soulève dans ses gros bras, vous vous pissez dans l’oeil !”


Je crois que la honte et l’humiliation avaient rendu mon visage aussi rouge que mes fesses meurtries ! Une bonne partie des boutons de la blouse avait abandonné leur poste face aux assauts de sa lourde poitrine. Le décolleté profond de l’amazone était visible et ses seins volumineux encore partiellement comprimés remontaient sous sa gorge. Regardant mon sexe, elle se mit à se moquer:


“Mais qu’il est petit !”


Elle plaqua un de ses petits doigts contre ma verge.


“Regarde ! Mon petit doigt est bien plus gros !”


En effet, il devait bien faire 2 cm de plus et était nettement plus large.


“Mais comment tu peux dire que tu es un homme avec une bite pas plus grosse que celle d’un bébé ! Comment as tu pu te permettre de me défier avec un engin aussi petit”


Elle saisit ma petite chose entre le bout de son pouce et de son index et commença à me masturber, gardant son petit doigt levé comme si elle tenait une tasse en porcelaine délicate. Des ondes de plaisir commencèrent à rayonner dans mon corps depuis mon bas ventre. Je ne fus pas long à venir et je frémis dans les bras de la géante quand quelques gouttes de mon jus jaillirent sur ses doigts massifs.


“C’est tout ! ça ne m’étonne pas que vous ayez du mal à vous reproduire si vous n’avez pas plus de semence ! Nos beaux hommes noirs ont des éjaculations abondantes, sans parler de leur sexe immense qui nous font jouir toute la nuit. Ils sont si virils qu’ils pourraient te mettre enceinte petit blanc !”


A ma grande surprise, l’idée d’être possédé par un géant noir au chibre titanesque me fit vibrer de plaisir. Cette idée qu’ils étaient tellement plus masculins que moi au point de pouvoir me fertiliser m’excitait sauvagement.


D’un geste puissant, la géante me retourna sur ses cuisses et emprisonna à nouveau mes poignets dans une seule de ses mains. Je n’avais aucune idée de ce qui allait se passer. Elle passa son index profondément entre mes fesses et caressa mon anus. Je frémis en intuitant la suite de ses projets pour mon petit fondement.


“Je suis sûre que nos beaux africains prendraient beaucoup de plaisir à insérer leur membre long et dur dans d’aussi jolies petites fesses”


Son index appuyait de plus en plus fortement sur ma rondelle si bien qu’il finit par y pénétrer sauvagement. Je n’avais jamais subi de sodomie encore. Cette idée ne m’était jamais venue à l’esprit et jamais je n’aurais pensé subir une telle expérience, pratiquée par le doigt expert d’une amazone africaine qui me maintenait fermement allongé nu sur ses cuisses, après m’avoir fessé. Son gros doigt allait et venait de plus en plus vite et de plus en plus profondément au fur et à mesure que je me dilatais. J’avais l’impression d’être rempli au point d’exploser ! Je me surpris à aimer ça. Je gémissais de plaisir ce qui semblait satisfaire ma maîtresse. Je sentis alors une vive chaleur envahir mon corps et je jouis. Je n’avais jamais ressenti un tel plaisir lors d’un orgasme. Ce fut une vraie découverte pour moi.


“Tu as aimé ça petite salope blanche. Mon gros doigt t’a bien faite jouir. Je vais te satisfaire pour longtemps alors”


Elle retira son doigt et saisit un presse papier en verre sur mon bureau. Il avait une forme d’ogive dont la circonférence était nettement supérieure à celle du doigt de la géante ! Elle l’enfonça profondément dans mon anus, brutalement, sauvagement. Je me mis à hurler de douleur. J’avais la sensation que mes entrailles allaient sortir de mon corps.


“Voilà petit tapette, tu as eu ce que tu méritais !”


Je pleurais, je tentais de faire bouger mon périnée afin d’éjecter l’énorme chose, mais en vain. La colosse d’ébène me retourna à nouveau comme une crêpe sur ses cuisses et emprisonna mes mains cette fois devant moi. Elle saisit le rouleau de ruban adhésif et attacha mes poignets ensemble. Ma bouche restait ouverte sans qu’aucun son ne puisse en sortir.


“Tu aimes ça, avoir une grosse bite dans le cul”


Je n’arrivais plus à m’exprimer. Une fois attaché, elle saisit fermement chacun des mes avants bras dans ses mains. Elle se leva du fauteuil tout en me soulevant. Je me retrouvai alors pendu par les mains au bout de ses bras, le presse papier toujours solidement encré dans mon anus. Elle me maintenait pendu comme si je ne pesais pas plus lourd qu’une poupée. Son visage ne montrait aucun signe d’effort. Elle se déplaça jusqu’au portemanteau auquel elle me suspendit par mes mains attachées. Mes fesses dans lesquelles se trouvait toujours l’ogive étaient tournées vers la porte. Elle saisit le bout du presse papier qui dépassait de mes fesses et l’enfonçant un peu plus, elle me dit:


“Profite bien petite salope, et que ça te serve de leçon !”


Je levai mes jambes et écartai mes cuisses telle une chienne soumise afin de tenter de rendre le passage de l’objet moins douloureux. Elle me donna une dernière claque sur les fesses et quitta la pièce d’un pas serein.


Une fois l’amazone partie, je tentai de faire céder mon lien en gigotant mes pieds qui se trouvaient bien à 20 cm du sol. J’avais beau lancer mes jambes dans tout les sens, rien n’y faisait. Je n’osais pas appeler au secours de peur que l’on me retrouve dans cette situation si humiliante : Nu comme un ver, suspendu comme un jambon, avec un presse papier de forme phallique dans les fesses ! Et comment avouer que je n’avais pas eu la force d'empêcher une femme de me faire subir ça !!


La nuit fut longue et la douleur dans mes bras atroces. C’est mon assistante, mme Couderc, qui me trouva ainsi vers 7H du matin. Elle resta bouche bée quand elle vit le spectacle qui l’attendait en entrant dans mon bureau.


“Mais monsieur ? Qu’est ce qu’il vous est arrivé ?”


Je me mis à pleurer et d’une voix gonflée de sanglot je lui dis:


“Libérez moi s’il vous plaît ! Enlever moi le presse papier !”


Elle s’approcha de moi et d’une main peu assurée, elle retira de mes fesses l’énorme phallus qu’elle jeta par terre.


“Monsieur, votre anus ! Il est si dilaté !


“Je sais Mme Couderc. Faites quelque chose, j’ai trop mal au bras”


Mme Couderc était d’une solide constitution. C’était une fille de la campagne qui avait grandi dans une ferme. Quand elle mettait des talons, elle faisait facilement une tête de plus que moi, ce qui ne m’avait jamais interpellé jusqu’à présent. Elle fit quelque chose pour laquelle je ne l’aurais jamais crue suffisamment forte. Elle plaqua un bras dans mon dos pour le soutenir puis faucha mes jambes de l’autre. Elle me souleva délicatement dans ses bras et me décrocha. Je me recroquevillai alors contre son corps chaud et massif. Elle me berça en plaquant ma tête contre son cou. Je pleurait comme une madeleine, solidement soutenu dans les bras de ma sauveuse, encore nu et attaché. Elle marcha doucement vers mon bureau sur lequel elle me posa avec douceur. Elle saisit un coupe-papier et trancha le ruban.


“Qui vous a fait ça ?”
“C’est la femme de ménage, une immense noire !”
“Une femme ? Mais comment ?”
“Elle était si forte !”
“Et c’est vrai que vous n’êtes pas très costaud. J’ai été très surprise de pouvoir vous soulever aussi facilement. Vous êtes léger comme une plume !”


Je regardai Mme Couderc d’un air interrogateur. Je n’avais jamais perçu chez elle la sensation qu’elle me considérait comme un homme fragile. Je m’évanouis sur le bureau.


J’étais toujours nu quand je revins à moi, mais Mme Couderc m’avait enveloppé dans son gilet qui était beaucoup trop grand pour moi. Elle m’avait à nouveau soulevé et porté dans ses bras pour m’asseoir sur ses cuisses afin de me bercer dans le fauteuil.
“Vous devriez rentrer chez vous pour vous reposer. Je dirai au boss que vous ne vous sentiez pas bien”


Elle m’aida à m’ habiller comme si je n’étais qu’un petit garçon et me serra tendrement contre elle avant de m’accompagner vers la sortie.


Arrivé chez moi, je pris une douche brûlante et m’endormis comme une masse malgré la chaleur et la lumière du jour. Mes rêves furent peuplés de géantes noires qui abusaient de moi, mais Mme Couderc était toujours là pour me soulever dans ses bras et m’emmener en sécurité. je crois que j’étais tombé amoureux d’elle ….


Fin

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